1. SUJETS de concours

2. Témoignages des anciens

WebMaster : O.GRAS

Enseignant Sc. Physiques CPGE spé PSI

Création du site :1er juin 2020

Mise à jour : 15 septembre 2024 à 16h00

Liens vers les énoncés des sujets 2023 :

Sujet ENAC 2021

Sujet IESSA 2021

Sujet X-ENS PSI2021

Sujet ENS ULM PSI2021

Sujet X-ENS Modélisation PSI2021

Sujet n°1Centrale PSI2021

Sujet n°2Centrale PSI2021

Sujet n°1Mines Ponts PSI2021

Sujet n°2Mines Ponts PSI2021

Sujet ChimieMines Ponts PSI2021

CCINP PSI2021

CCINP PSI2021

Témoignages des anciens de la P.S.I.

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Lilas - ENSIACET (INP-TOULOUSE) - Génie des Procédés et Informatique, Spécialisation Eco-énergie

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Ne sachant pas exactement quoi faire après le BAC, j'ai décidé de passer les concours pour devenir ingénieure en suivant deux années de CPGE à Louis Thuillier (PCSI puis PSI). En effet, j'ai choisi ce cursus car je ne voulais me fermer aucune porte. De plus, étant scolarisée au lycée Louis Thuillier depuis trois ans, passer mes années prépa dans ce même établissement me rassurait beaucoup car je connaissais déjà mon environnement.

Contrairement à beaucoup de personnes, la première année de prépa s'est plutôt bien passée pour moi et j'ai su m'adapter et trouver mon rythme. En revanche, j'ai connu plus de difficultés l'année suivante. L'expérience de la prépa est propre à chacun, mais de manière générale tout le monde connaît des hauts et des bas. Il faut être capable de se remettre en question et de travailler dur, mais une fois les concours réussis on ressent une grande fierté et un sentiment d'accomplissement. Les efforts de ces deux années ne sont pas vains et nous permettent de nous dépasser et de découvrir un panel de domaines scientifiques dans lesquels nous pourront nous spécialiser en tant qu'ingénieur par la suite. 

Je ne regrette absolument pas ce choix, Thuillier est une prépa dans laquelle règne une bonne ambiance, surtout à l'internat où la cohésion et l'entraide prédominent. Les professeurs sont à l'écoute et nous apportent de bon conseils, que ce soit concernant notre méthode de travail ou pour notre orientation professionnelle. J'en garde de très bons souvenirs !

Mélina - Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris (EIVP)

Après mon bac, je me suis orientée vers une prépa parce que je ne savais pas quoi faire et que je ne voulais pas me fermer de portes. La possibilité de retourner dans un cursus universitaire après une ou deux années m’a confortée dans ce choix et le fonctionnement proche de celui du lycée m’a rassurée. J’ai donc entamé une PCSI, qui me semblait le plus coller à mon profil. J’ai continué en PSI l’année suivante. J’avais beaucoup de difficultés dans les matières scientifiques, et me retrouver dans une classe avec de très bons éléments (le lycée ne proposant pas de PSI*) m’a tirée vers le haut. En revanche, j’étais très à l’aise dans les matières littéraires, ce qui m’a permis en 3/2 puis en 5/2 de remonter significativement dans les classements des concours. J’ai intégré en fin de 5/2 l’Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris (EIVP), que j’avais découverte à un forum Taupe.

J’ai choisi cette école à cause de son caractère généraliste, tous les aspects de la ville y sont traités: la construction, l’assainissement, le transport, l’aménagement… On y fait plus de stage que dans les autres écoles (4 au lieu de trois) et les secteurs d’emploi y sont très nombreux.

En dernière année, j’ai choisi de faire mon stage de fin d’études dans un cabinet d’expertise immobilière, où j’exerce le métier d’expert en évaluation immobilière. Il consiste à déterminer la valeur d’un immeuble.

En somme, la prépa est un excellent tremplin qui vous ouvrira de nombreuses portes. Je vous conseille de profiter des forums (que ce soit au lycée ou ailleurs, il y en a plein) pour vous renseigner, poser plein de questions. Je garde un très bon souvenir de mes années de prépa, que ce soit les profs, qui sont à l’écoute, qui poussent vers le haut (même en cas de difficultés) et qui sont de bon conseil, ou les autres élèves.

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Simon

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Sébastien - promotion 2010 - ENSMM, l’Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques

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Valentine -Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques, à Besançon

En sortant d’un Bac S option Science de l’Ingénieur,je savais que je voulais continuer à étudier les Sciences de l’Ingénieur et aussi les Mathématiques mais je ne savais pas précisément le travail que je voulais faire. On m’a alors conseillé de faire une classe préparatoire au lycée Thuillier de Amiens, ce que j’ai fait. D’abord en MPSI, où j’ai découvert que les Maths n’étaient pas faites plus que ça pour moi, mais la SI s’est révélée davantage être ce que je voulais faire. Ensuite en PSI, ce n’était pas facile, mais les méthodes de travail acquises, les connaissances et le mental m’ont beaucoup aidé par la suite.

Après la prépa, je souhaitais continuer dans le domaine de la Mécanique mais en apprentissage, voulant moins de théorie pour plus de pratique. J’ai alors été prise à l’ENSMM (Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques, à Besançon) en apprentissage pour devenir Ingénieure Mécanique, ce que je ne regrette absolument pas ! J’ai réalisé mon apprentissage au sein de PSA Groupe à Sochaux, ce qui m’a permis d’entrer dans le monde de l’industrie et plus particulièrement automobile.

Alexis - Promotion 2015 – ISAE-ENSMA

À la sortie du lycée je savais déjà que je voulais devenir ingénieur, le problème était de savoir quel type d’ingénieur je voulais être (il n’y a rien de plus vague que quelqu’un qui vous dit qu’il est juste ingénieur). J’avais un bon niveau et de la motivation ; c’est pourquoi je me suis tourné vers une prépa MPSI. Je me suis ensuite orienté en PSI par appétence pour la physique (pour comprendre le monde qui vous entoure) et les sciences de l’ingénieur (pour appliquer vos connaissances pour réaliser des systèmes plus ou moins complexes. Ne vous inquiétez toutefois pas les mathématiques resteront ardus! J’ai choisi le lycée THUILLIER car un conseiller d’orientation m’a dit que ce qui comptait en prépa c’était le travail qu’on y fournissait et non pas son rang. Pour une fois, il n’avait pas tout à fait tort!

LT était la prépa la plus proche de chez moi et cela me permettait donc de rentrer chaque we.

J’ai rencontré des personnes incroyables durant ces deux années, que je continue à voir encore

aujourd’hui ! Une prépa, c’est intense, très intense même, pour être transparent avec vous: vous aller passer des heures carrées à bosser mais finalement quelle richesse! Vous comprendrez le sens des mots travail et science car tout ce que vous aurez vécu précédemment ne sera pas comparable. Alors oui, c’est dur car il y a un gap à franchir par rapport au travail et niveau qu’on vous demandait au lycée (pas grand-chose en somme). Gardez en tête que c’est pour obtenir le meilleur format de vous-même et que vous en sortirez compétents, rigoureux et avec le plus vaste choix d’écoles d’ingénieurs possible.

Je vous conseille, vivement ce choix si vous souhaitez intégrer les meilleures écoles. Les prépas intégrées vous ferment le champ des possibles avant même d’avoir commencé. Des passerelles existent si vous ne voulez plus poursuivre une prépa externe (mais je doute que vous les utiliserez). Il reste encore les intégrations post DUT ou universitaires mais, personnellement, je trouve que c’est assez peu répandu et très élitiste (donc moins de chances d’intégrer). Je vous conseille aussi de prendre l’internat qui est un parfait équilibre entre travail et détente pour relâcher la pression quand

il le faudra tout en ayant du soutien sur les notions difficiles et/ou le moral. Je ne serais pas arrivé là où j’en suis sans! En revanche, pensez à de la déco, vraiment!

Enfin, c’est en prépa que j’ai découvert le dimensionnement de structures et l’aéronautique ; ce qui m’a amené à rejoindre l’ISAE-ENSMA ce qui relève d’une autre aventure!

Ba’el

Traduction : «J’ai été très heureuse de faire ce long trajet pour étudier en PSI à AMIENS»

2011-2014. Télécom SudParis

2015-2018

PhD in Machine Learning, UPMC - Sorbonne Universities

At the intersection between theory and applications, my work was focused on the design and analysis of statistical methods for high-dimensional problems, with a particular emphasis on survival analysis settings. I had the chance to collaborate on various exciting projects.

2014-2015

ENS Paris-Saclay, MVA Master, Machine Learning, Mathematics, Statistics, Computer Science (Mention Très Bien)

Harmonic analysis, wavelet analysis and signal processing, optimization, information theory and pattern recognition, statistical learning and high dimensional statistics, compressed sensing, bayesian networks, kernel methods, reinforcement learning, graphical models, computer vision.

2011-2014

Télécom SudParis, Engineer's degree, Statistics & Data Mining



Mon rêve de gamin était de devenir pilote de ligne, à la différence des autres enfants, j’ai emmené ce rêve jusqu’au bac S. Seulement, je savais que ce rêve risquait de ne pas aboutir alors il me fallait un plan B, si je ne pouvais pas les piloter, je participerais à la fabrication des avions: je deviendrai ingénieur. Par conséquent, que ce soit pour le plan A ou le plan B, je devais aller en Classes Prépa.

Alors vient la question du choix de la classe prépa, partir à Paris ou à Lille, ou alors rester à proximité de mes proches et choisir la prépa de Thuillier. C’est ce dernier choix que j’ai fait en 2009 et je n’ai pas eu à le regretter. Après une première année en PCSI où j’ai découvert les sciences de l’ingénieur, je me suis tourné vers la PSI. La taille de l’effectif, l’ambiance, et la cohésion des groupes de travail ont rendu ces deux années plus faciles à vivre. La force de la prépa à Thuillier c’est son visage humain et la disponibilité de l’équipe pédagogique.

Cependant ne nous mentons pas, faire le choix d’intégrer une classe préparatoire, c’est faire le choix de 2 voire 3 années éprouvantes et parfois difficiles. Il y a des hauts, des bas et surtout beaucoup de fatigue. Mais si vous lisez ce témoignage, croyez-moi sur parole, vous serez tellement fier de vous, fier de l’avoir fait, fier d’y être parvenu. Et la suite de vos études se déroulera normalement sans accroc, les capacités de travail que vous aurez développé vous serviront encore pendant bien des années…

Enfin vient le temps des concours et du choix de l’Ecole d’ingénieur. Là c’est un choix qui vous appartient en fonction du domaine dans lequel vous souhaitez exercer, et surtout du type de poste que vous chercherez par la suite. En effet, des ingénieurs il y en a dans tous les domaines, à vous de voir. Personnellement, j’ai fait le choix de l’ENSMM, l’Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques, à Besançon, dont je suis sorti diplômé en 2014.

Antoine - Promotion 2008 – Arts et Métiers

Quelque part pendant mes premiers mois de lycée, en pleine journée des carrières, j’’ai décrété que je deviendrais ingénieur dans l’’aéro. 15 ans plus tard, c’’est exactement ce que je fais et c’’est en bonne partie grâce à mes 3 années passées à Thuillier !

La décision de rempiler pour une année de 5/2 n’’était pas simple sur le coup, mais avec le recul elle fut bien plus sereine et je la conseillerais à tous ceux qui hésitent, surtout quand comme moi il a fallu un peu de temps pour se mettre à travailler en sortie du lycée

Après Louis Thuillier, j’’ai pu intégrer les Arts & Métiers. La carte étudiant me plaisait tellement que j’’ai poursuivi mes études sur un doctorat, que j’’ai soutenu en 2015. J’’ai eu la chance d’’être embauché dans la foulée, et je construis depuis ma carrière chez les motoristes aéronautiques et spatiaux.

La prépa fut, pour moi, le moment où s’’est construite la valeur ajoutée que je vends aujourd’’hui sur mon CV. Ses efforts et ses professeurs, encore plus que l’’école d’’ingé, m’’ont enseigné la rigueur et la capacité d’’apprentissage qui me permettent de faire la différence aujourd’’hui. 

Le choix de Thuillier fut le meilleur pour moi, il m’’a permis de garder un bon équilibre entre le volume de travail et la proximité avec mes proches. La vie étudiante amiénoise permet également de profiter d’’un peu de détente bien méritée !

Nicolas -promotion 2018

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Axel -PolyTech Lille

Je pourrais conseiller la prépa à qui est bosseur, mais ce n'était pas mon cas.

En fait, ce fut mon choix car c'est ce qu'il y a de plus intéressant en post-bac si vous aimez les sciences. Le volume de travail est dense et le rythme soutenu. Ça peut être effrayant et c'est vrai que cela implique de mettre une partie de sa vie entre parenthèses. Mais avec une bonne organisation, on peut continuer ses passions (j'arrivais toujours à organiser des concerts personnellement - je suis guitariste/chanteur). Le bon côté de cela c'est que vous aurez les connaissances les plus approfondies à années d'étude égales des autres formations. Et donc peu importe vos vœux pour la suite (école d'ingénieur, filière universitaire, etc.) : avec l'avance accumulée vous n'aurez aucun problème pour intégrer ces études. Et puis, comme en sport où l’on apprend à se connaître, à se sentir, à dépasser ses limites, la classe prépa ne peut être qu'un défi intéressant.

Je suis maintenant à Polytech'Lille et je considère toujours les années prépas comme les plus stimulantes et les plus importantes de ma scolarité.


Lara - Promotion 2016 – ENSIAME + ENSMM

Après mon BAC, je me suis orientée en prépa scientifique. En effet, je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire plus tard mais j’aimais les maths et la physique. J’ai toujours eu soif d’apprendre et la prépa était l’endroit parfait pour ça. Ayant passé mes années lycée à Thuillier, j’ai tout naturellement voulu y rester pour ma prépa : un environnement que je connaissais et dans lequel je me sentais bien.

J’ai commencé par la MPSI puis j’ai choisi la PSI en deuxième année car cela permettait d’apprendre des connaissances variées et dans différents domaines d’ingénierie. Je repense notamment aux travaux pratiques en sciences de l’ingénieur qui ont justement permis d’appliquer tout ce que l’on avait appris avec des systèmes réels et cela a été très formateur.

Mes deux années de prépa se sont vraiment bien passées. Bien entendu, c’est loin d’être facile, cela demande beaucoup d’efforts, d’investissement personnel et il faut rapidement apprendre à organiser son travail. Néanmoins, j’ai ressenti une très bonne dynamique de travail pendant ces deux ans et plus particulièrement en dernière année à l’approche des concours. Les professeurs nous soutiennent et se rendent disponibles pour nous quand on a des difficultés. J’ai vécu ma prépa dans une ambiance très « familiale » : je ne ressentais pas de stress négatif et entre élèves on s’entraidait pour les colles ou les DS. L’internat a notamment favorisé cette cohésion entre nous.

Après avoir passé les concours, j’ai intégré l’ENSIAME à Valenciennes (devenu INSA Hauts-de-France) via le concours CCP et j’ai suivi l’option Mécatronique. Dans le cadre d’un partenariat avec l’ENSMM (Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et de Microtechnique de Besançon), j’ai eu l’opportunité de faire un double-diplôme et d’étudier l’Ingénierie de l’Innovation qui permet d’accompagner la mise en place de l’innovation dans les entreprises.

Aujourd’hui, je suis en dernière année d’école et je considère mes années prépa comme étant les deux années les plus enrichissantes de ma scolarité. La prépa m’a offert une rigueur, une capacité de travail très importante et un esprit d’analyse qui continueront de me suivre par la suite. J’en garde vraiment de très bons souvenirs !

Mines de Douai 

Je suis arrivé en prépa avec pour objectif les grandes écoles d’ingénieurs et plus précisément Sup’Aero. Au lycée, on m’avait présenté la prépa comme la voie dorée pour cela, au prix de l’exigence et du travail. Et sur ce point on ne m’avait pas menti ! Ce n’est pas une mauvaise chose pourtant : j’y ai appris la rigueur, et j’ai gagné une capacité de travail importante (c’est un vrai plus, ça m’a servi par la suite).


Je suis arrivé en PCSI. J’y ai redécouvert les Mathématiques et surtout, j’ai découvert les Sciences Industrielles, qui m’ont passionnées. C’est donc sans hésitation que j’ai choisi la filière PSI. C’est peut-être chauvin, mais c’est pour moi la filière qui apporte le plus de connaissances dans le plus de domaines différents. Malgré une certaine image de 2 ans de bachotage pour les concours, les cours abordés en prépa m’ont très rapidement passionnés. 


A la fin de la 3/2, j’ai eu la « mauvaise » surprise de réussir les concours mieux que prévu : j’ai eu la barre à l’écrit à un concours où je n’étais pas inscrit : les «petites» Mines. J’avais passé les écrits pour les grandes Mines qui sont communs à toutes les Mines et c’est ainsi que j’ai su que j’étais capable de viser une petite Mines (et plus particulièrement celle de Douai pour son cursus Informatique). J’ai donc fait le choix de la 5/2, puisque c’est une opportunité qui nous est offerte. Je ne regrette absolument pas ce choix, qui a été supporté et discuté avec mes proches et les professeurs toujours à l’écoute. Psychologiquement, la 5/2 a été plus éprouvante. Cela ne doit pas être un objectif, mais une seconde chance. Au bout, pas de filet de sécurité, pas de troisième chance. La pression était donc plus importante, d’autant plus que c’est arrivé l’année du changement de programme. Une fois encore, l’équipe enseignante a été d’un grand soutien pour discuter de la meilleur stratégie pour mon parcours, autant avant les inscriptions pour savoir où m’inscrire (inutile de se fatiguer inutilement sur un concours qui ne m’intéresserait pas), qu’après les résultats des écrits.

Aujourd’hui, j’ai terminé mon école d’ingénieur, je suis développeur informatique, mais la prépa restera. J’en viens à regretter les démonstrations de Mathématiques et de Physique !

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